Précédemment

Le ciel était rose-orangé et la température se rafraîchissait : la nuit tombait.
Je chevauchais Chouchou depuis ce matin et nous ne nous étions arrêtés seulement pour manger dans un petit village. Il avait sommeil et moi aussi : nous espérions bientôt tomber sur une auberge pour y passer la nuit.
Nous avions parcouru un long chemin depuis que nous étions partis du pilier céleste et nous avions pus observer de nombreux panoramas, plus beaux les un que les autres. Nous avions rencontré quelque amis et j'avais fait un petit concert en centre ville avec trois d'entre eux. Ça avait été de très bons moments.

Actuellement nous étions au milieu d'un  champ de fleurs aux couleurs des plus magnifiques et leurs suaves senteurs parvenaient à mes narines en provoquant une explosion de bonheur tout au fond de mon être. Chouchou était apparemment de mon avis vu la façon qu'il avait de s’arrêter et de respirer longuement devant chaque nouvelle espèce florale qui passait sur notre chemin. Ici, tout n'était qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté.
 Sur notre gauche, se trouvaient une forêt que nous longions depuis déjà deux bonnes heures. J'avait préféré la contourner pour ne pas rencontrer de nouveaux problèmes en ces temps si peu sécurisés. Dans le ciel, volaient des milliers de Pokémon vol ou insecte mais aucun signe des deux dragons légendaires. Je croisais les doigts tout les jours pour rester éloigner le plus possible de ces sources de malheur.

Alors que j'étais plongé dans mes pensées, Chouchou attira mon attention afin que je puisse découvrir une petite forme qui se distinguai dans l'horizon. Une quinzaine de minutes plus tard et un bâtiment apparu. 
D'après ce que j'en voyais, il était fait de bois clair et ressemblait énormément à un chalet de montagne.
Une construction, seule au milieu de rien... Je pense que nous avions trouver l'auberge tant attendu.

Quelque minutes plus tard nous nous étions arrivé devant. Il faisait nuit à présent. "L'auberge du gentil compagnon"... Je crois que tout est dis dans le nom, je ne m'était pas trompé. Alors, en rentrant Chouchou dans sa luxeball, je franchis le palier de cette demeure accueillante en espérant y trouver logement et nourriture.

Ouaaaaaaaaaaaa...
Je ne pouvais dire autre chose devant ce que mes yeux me montraient. L'intérieur de cette auberge était, elle aussi, constitué de bois clair, avec des tables par ci par la. Au fond a droite, on pouvait voir les escaliers qui montaient aux chambres et à droite se trouvait le bar , grand et large pour pouvoir faire la fête toute la nuit. Derrière ce bar, se trouvais l'aubergiste. Un homme d'allure sympathique, embonpoint, en train d'astiquer ses meubles avec un sourire au visage.
La vous me direz (avec une voix de débile) : "mais c'est l'intérieur normal d'une auberge. Pourquoi tu dis ouaaaaa devant en faisant style que c'est trop bien? Tu es trop lèche-luc Alexander. "
Et bien le meilleur n'est pas encore arrivé : des guitares et autres instruments de musique étaient suspendu ainsi que des posters de musiciens connus.
Comment rêver meilleur endroit ou dormir ?

Je m'avançais en direction de l'aubergiste qui m'attendait, un grand sourire au lèvre et une main en avant.
Je la lui serais poliment.

"-Tedieu, vlas-t'y pas une nouvelle trogne. Comment ça va t'y pas?

-haha bien merci. J'aimerais louer une chambre et une place pour le repas de ce soir. Est-ce encore possible?

-Mais bien sur. Il'm reste sûrement un ou deux pieus et pour ce qui est du souper, c'est avec joie que Bibine, ma femme, prépare de la pure d'ici.
(Il prit une clé derrière le bar et me l'a tendis : numéro 13... Heureusement que je ne crois pas au chiffre malheur)
Voilà, on s'revoit pour 8h pétante, sinon le r'pas vas r'froidir.

-merci monsieur, dis-je le sourire au lèvre ( aller parler à une personne avec un tel accent et on verra si vous aussi vous lutterez contre le rire comme moi en cet instant). À ce soir."

Je traversais alors la salle pour monter les escaliers menant aux chambres et plus particulièrement la chambre 13.

Je m'amusais a imaginer la chambre 13 tout en montant les marches. Contrairement a toutes les autres, j'allais arriver devant et la porte serais noire, usée et pourris! En rentrant a l'intérieur de cette chambre de mes pensées, je ne trouverais a l'intérieur aucun meuble, a part une couche en paille. Et, pendant la nuit, des tas de pokemon fantôme venant me hanter.

Je ris de ma propre imaginations débordante car, en arrivant en haut des marches, je vis très rapidement la chambre 13 et elle était ... Identiques au autres. Je rentrais alors a l'intérieur ( qui est aussi normal soit dis en passant) et m'allongeais sur mon lit.
Je fis également sortir Chouchou et profitais du temps qu'il me restais avant de manger.

Cela faisait 2h que j'étais descendu manger. L'aubergiste (Roger ) avait raison : Isabelle ( alias bibine, sa femme) cuisinait incroyablement bien la tartiflette.

Nous avions mangé environ 1h30 dans une atmosphère festive. Chouchou avait joué avec l'évoli d'Isabelle et on peut dire qu'ils s'entendaient bien : 20 mn après leur rencontre, ils avaient déjà mis au point des stratégies pour nous voler notre nourriture en créant des diversions à divers endroit. J'étais le seul résident aujourd'hui, et ce n'étais pas si mal : nous avions pus jouer de la musique toute la nuit avec Roger à la batterie et Isabelle au violon. Nous nous sommes dépensé comme des fous sans ce soucier du bruit produit. Après tout, il n'y avait personne d'autre que nous par ici.

J'étais monté me coucher tard et m'étais endormis d'un seul coup en soupirant : enfin un vrai lit.

BIP BIP BIP

Mon réveil sonne. Rhooo, saleté de... de quoi? Depuis quand ai-je un réveil moi?
Je tourne la tête en direction du son parasite... Un petit boîtier indique 04.46 . Ainsi il est quatre heure quarante six. C'est tôt! Trop tôt!
Je repose ma tête contre mon oreiller pour essayer de replonger dans  mon rêve si doux dont ce bruit agaçant et incessant m'a sortis.

BIP BIP BIP

Je confirme, ce bruit est TRÈS agaçant. Je regarde à nouveau le réveil...

"C'est bon j'ai compris qu'il est 03.58 , pas la peine de me harceler comme ça"

Je me retourne une fois encore en fermant les yeux.
Soudain, une drôle de sensation m'assaille. J'ai l'impression que mon corps se rétracte, comme si il se sentais gêner. Pourquoi ?

J'ouvre les yeux tout d'un coup pour tomber nez à nez avec deux yeux d'un rouge sang qui émettaient une légère lueur maléfique.
De terreur, je me recula dans la précipitation de l'autre côté du lit tout en le regardant. En plus de ces yeux, je distinguais un long nez, crochu et tordu, ainsi qu'une bouche arborant un sourire malsain.
Mon corps a peur. Mon corps tremble.  Je ne comprend rien. comment est il arrive la sans bruit et que le veux t'il?
J'aimerais parler, lui demander mais mes lèvres refusent de m'obéir.
Soudain je ressent un léger souffle dans mon cou! Je me retourne, au ralenti, en me préparant a tomber de nouveau sur... J'en étais sur, encore un de ces hommes "démoniaques".
Mais pourquoi ? Que me veulent t'ils?

Alors, exactement en même temps, ces deux terreurs, sortis de mes pires cauchemars, levèrent lentement leurs bras en direction du mur (celui en face de mes pied, de sorte que je n'avais qu'à le lever un peu pour être exactement en face).

Quelque chose bougeais, fixé sur le mur! Après un claquement de doigt a l'unisson des deux cauchemars, une lumière apparut petit a petit dévoilant un spectacle des plus macabres : Chouchou était crucifié au mur, en sang , les yeux blancs!
Les larmes montèrent d'un coup à mes yeux. C'en était trop pour moi.

Alors, alors que mon corps entièr se délestait de toutes les larmes qu'il pouvait, l'homme a ma droite m'indiqua quelque chose du bout de son doigt.
Je dus sécher mes larmes pour pouvoir y voir quelque chose : il m'indiquait mon réveil. Il voulait peut être que je vois l'heure ou j'allais passer en outre monde. Il est 00.25 J'espérais de tout cœur que la ou j'irais ensuite me permettait de revoir Chouchou. Attendez! Comment peut il être minuit ? Il était quatre heure tout a l'heure!
Je reregardais mon réveil pour me rendre compte qu'à présent il était 00.10.
Oh, je vois. Ainsi je mourrirais dans l'explosion d'une bombe. Je m'attendais à pire,
Je regarde une dernière fois Chouchou.

"J'arrive mon ami"

Puis les deux hommes se mirent à rire et dirent d'une voix d'outre tombe : c'est fini!

A ce moment, le compteur atteint 00.00 et, sous les rires maléfiques des démons, ma vision se brouilla sous l'explosion puis s'éteignit totalement.



Je me réveilla en sursaut. Mon corps tremblant était en sueur.  
C'était un rêve... Enfin un cauchemar.  C'est la première fois sur j'en fait un si réaliste.
Soudain je me rappelle de mon girafarig placardé sur les murs et d'une voix pleine de peur (voir de terreur) je l'appela. Cependant, encore sous le choc, je n'osais crier trop fort.

"Chouchou! Chouchou! Répond je t'en supplie"

Vu la tête qui émergea de derrière mon lit, j'étais prêt a jurer que je venais de le réveiller et qu'il serais prêt a payer pour me voir pendu immédiatement ( métaphoriquement évidement ). Je lui caressa alors la tête.

"J'ai eu une de ces peurs mon vieux. Je t'adore tu sais?"

Il me répondis en blottissant son museau dans mes bras et en me regardant avec ses grands et beaux yeux bleus. Comme pour me dire que lui aussi tenait a moi.

Mais quel était ce rêve? Et pourquoi était il si réaliste?

Soudain, j'entendis un bruit venant de la salle principale. L'horreur continu ?

Au ralenti, j'ouvrais ma porte. L'obscurité était maître en ces lieux et à cet instant : je n'y voyais rien. La seule chose qui me guidait était le son provenant de la salle principale et mes propre souvenirs d'hier soir.

J'entendais une voix... Si ça se trouve, cette voix appartient à Roger et ma méfiance est dus à mon cauchemar ainsi qu'à l'heure avancée.

Je descendis les escaliers... après tout c'est la bas qu'était la vérité. me dis-je en arrivant à l'entrée de la salle.

Je rentre alors et...Je confirme, c'est ici que se trouve la vérité. Et quelle vérité : je voyais à présent d'ou venait la voix.

Dans la grande salle commune, juste devant le bar, se trouvais un homme de grande taille. Il mesurais peut être 1m70-80, avait un chapeau noir, habillé en bleu sombre. Il avait une boite plutôt grande sous le bras. Jusque la, j'aurais pus me dire que tout était normal... Ce qui l'était moins était la forme à ses pied qui se tordait de douleur.
En regardant de plus près, je me rendis compte que l'homme n'était autre que Roger.

Que faire ? Aller à son aide et risquer ma peau ? Ou rester la comme un faible. Et puis Roger et sa femme avaient été si gentils... Je ne pouvais pas le laisser comme ca. Tout à coup, une forme me frolla et partis en direction de l'homme étrange. Au dernier moment je reconnu le évoli de l'auberge. Par au dernier moment, j'entend juste avant qu'il percute l'homme au chapeau de façon plutôt violente... dommage que ce soit seulement au niveau du pied.

Avec un léger "aie", celui ci se retourna pour découvrir la petite boule de poil. En voyant son pokemon en danger, Roger reprit un peu de force pour se relever légèrement et dire d'une voix faible à son évoli de fuir.

Ses yeux pleins de peur et de détresse me convinrent à passer à l'acte... mais comment ?

L'intrus sortis un pokemon, une sorte de fantôme poupée, et dit d'une voix heureuse (de faire le mal évidement) "Branette, ton déjeuner est servis, (il se retourna vers l'aubergiste) et toi, tu va te décider à me donner le *%*/#@ de mot de passe de ton coffre fort!"
OK, c'est un voleur... enfin je pense.

Enfin bon, Roger et évoli ont des problèmes, je n'ai plus le choix (ni l'excuse au cas ou de dire "ah ba je pensais qu'il était gentils et qu'ils rigolaient ensemble") . Je m’élança alors en envoyant la ball de Chouchou en l'air. Au moment exact ou celle ci s'ouvrit, je lui dis, "Chouchou, lance mur lumière et protection sur le évoli, maintenant. Empêche le branette de lui faire du mal."
Chouchou lança alors ses attaques et le branette qui commençais à avancer en se léchant les babines vis sa face s’aplatir soudainement contre la barrière ainsi créée

L'homme me regarda d'un air surpris :

"-quesque... Zut, l'effet de cauchemar est déjà fini. Merde...  Bon, ce n'est pas grave, on va faire avec. D'ailleurs, tu compte faire quoi avec tes attaques? tu n'es pas au courent que (il passa sa main en travers de la barrière de Chouchou, attrapa le évoli et le sortis de sa protection. ) tes attaques empêche les pokemons de passer mais pas les humains. Quelle idiotie de ta part (il lève le malheureux pokemon face à son visage) haha, pas de chance pour toi mon chou .

-Girafarig utilise hypnose sur branette. Et toi, tu aurais jamais du poser un pied dans cette auberge."

A ces mots, je m'élance sur lui et lui envoie une beigne dans la figure. Le gredin recule sous le choc, se prend les pied dans une chaise et tombe à terre. Je m'avance alors vers lui. Je vais l’arrêter et l'attacher puis, appeler la police. C'est la meilleur chose à fai... BAM!

Me voila projeter à l'autre bout de la pièce. Mais pourquoi? Je vois à présent branette qui rigole, à côté de l'endroit ou je me trouvais il y a peu... Me serais-je pris une de ses attaques? et que fait-il encore reveiller? Chouchou a pourtant utiliser son hypnose non? Je regarde mon pokemon et je le vois effectivement en train de lancer son sort. Cependant, l'ennemis n'a pas l'air de s'en soucier. Et puis je me sens sombrer : mes paupières se ferment. La derniere chose que j'entend, c'est la voix de l'homme : "saleté de connard. Et dire que je voulais pas faire trop de grabuge et simplement vous libérer de la charge de tout vos sous... Et toi (je comprend qu'il s'adresse à Roger) tout ça c'est de ta faute, si tu m'avais donner ce code, on en serais pas la... Bon au moins j'ai la recette du mois. A plus bande de naze."

Je sombre.

Il fait beau, il fait chaud et on est au top level: Il y a du soleil et des nanas. Chouchou et moi sommes dans un champs.Tout le monde court entre les fleurs et rigole tellement. Tout à coup, le décor se transforme pour laisser place à une estrade. Evidemment, Chouchou et moi sommes sur scène et un public dément est sous nos yeux. Commence alors le concert le plus endiablé que Madrigal aie jamais connu depuis Jaimie And Dricks. Ils adorent mon nouvel album : Légende dans la tempête . Tellement de classe en nous, c'est incroyable. Chouchou est à coté de moi, il a un nœud papillon pour l'occasion !

Ils m'acclament : "Alexander, Alexander " Ils m'aiment :"réveille toi petit". What? Mais pourquoi ils hurlent tous ca ? Je ne dois pas me réveiller du tout, c'est la réalité, je suis connu et c'est tout. Je ne veux pas partir !

Malheureusement la claque que je me pris me renvoya parmi les vivant. j'ouvris les yeux d'un coup et apporta ma main sur ma joue douloureuse"

"-Mais vous êtes malade ou quoi? espèce de tare !

-Bibine, viens t'y voir ca ! Le ptio s'est levé. C'est'y pas beau ? Pour fêter ca, Champagne ! Bibine, amène mes meilleurs bouteilles.On peut dire que tu a eu du bol gamin, une ball-ombre dans la tête, d'autre seraient mort pour moins que ca...

-Mais je ne comprend pas, Chouchou l'avait hypnotiser. Il aurais du dormir !

-Elle est la ton erreur mon ptio. Le talent de Branette était Insomnia ... Il ne pouvait pas être hypnotiser.

-Et merde... Je suis désolé, je n'ai rien pu faire pour votre argent. Je suis désolé... Je vous payerais le double de ma pension je vous le...

-Tututut ! tu te tais. Au contraire, toi tu ne paye rien. J'était  à deux doigts de donner ce qu'il désirait et tu es arrivé. Tu nous a sauver. Merci gamin.

-Si seulement j'avais enseigner des techniques offensives à Chouchou (dis-je en regardant ce dernier). Mais ne t'en fais pas, à partir de maintenant je vais t’entraîner de façon plus complète. Je te le promet !"

Chouchou avait l'air déterminé et prêt à commencer l'entrainement des que je lui demanderais. J'adorais ce pokémon.

"bien (dis-je en me relevant) il va être temps pour moi de partir. Merci pour tout.

-Opopop, tu te calme petit, tu a la vie devant toi alors quesque une heure en moins. Et regarde qui voila, bibine avec, et c'est le plus important, mon meilleur champagne pour te remercier de ce que tu a fait pour nous"



Ainsi, c'est 3 heure plus tard que je repartis accompagné de Chouchou sur les routes de Madrignialle...de Madgrigiolle...de Macarena... enfin vous m'avez compris alors ne m'enkikiner pas !


Et je suis pas bourré (on a juste bu un tonneau de bière et quelques bouteilles d'alcools fort... c'est rien)!


LA suite c'est par sisi...gifi... c'est pas ici !